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Ah, ils les roulaient les mécaniques, les Aubry, Chevènement, Hue, Forni, Voynet, Trautman, Moscovici et quelques autres dont les noms m’échappent maintenant que j’y pense. Ils posaient comme des stars guignolesques les amis de Zizou, entre deux photos pour la réclame, un coup de dent dans le mac do, et bien avant le drame du genou, ils gueulaient tous en chœur contre le Jean-Marie. Même le Johnny a eu l’idée de se joindre à la meute, sans doute pour faire « jeune », l’idole s’est fourvoyée entre deux opérations de chirurgie esthétique et une petite cure, parmi la bande de chiens beuglants pour la curée alimentaire. Résultat : Le Pen qualifié pour la finale et… la Dominique au chômage, la Aubry qui chiale comme une pisseuse qu’elle est, les blacks, les beurs, et les blancs dans l’avion du retour. Honteux… Redescendus de leur piédestal médiatique, balayés par les vaillants sénégalais et courageux danois. Bien contente la mémé. A ce moment-là, je n’ai pu m’empêcher de penser que comme ça au moins ils n’auraient pas à se forcer pour chanter la Marseillaise et je me suis dit qu’ainsi ils auraient tout le temps pour faire dégonfler la pastèque qui leur sert de tête.

E. L. I. M. I. N. E. S. les « footeux ’ donneurs de leçons politique, les « gamelards » du système, les bourgeois bohèmes et les vendeurs de sornettes…Bien fait !

Ah oui, c’était bon, très très bon même, de rappeler à tous ces zozos prétentieux ce qu’ils avaient oublié, à savoir qu’un footballeur doit jouer au ballon et qu’un gouvernant doit se préoccuper du bien du peuple. Un point c’est tout !

Au lieu de cela ils se sont permis de jouer aux censeurs, et ils ont tenté de salir le seul homme politique de ce pays qui n’a jamais menti aux Français, celui qui avait, qui a et qui aura raison. Ils avaient oublié tous ces « tatus » qu’ils encourraient, comme naguère les Noir, Tapie ou Botton, la malédiction du Menhir. A vouloir empêcher le peuple d’exprimer sa colère et en salissant un homme qui toute sa vie s’est comporté en patriote sincère et courageux on reçoit sur la gueule. Et ça, cela s’appelle la justice. Quelle joie aussi de voir le Mégret de canard, celui qui prétendait incarner l’avenir pour justifier son ignoble trahison, faire à peine 1 %, ce qui est, je vous l’accorde, encore trop pour un judas. Remarquez qu’à force de descendre il finira bien par trouver du pétrole et en s’associant aux Arabes il pourra ainsi payer ses dettes et celles des gogos qu’il a entraîné avec lui.

Ils ont payé le prix ces petits bonhommes pitoyables et j’en suis toute émoustillée, comme une rosière de vingt ans.

Le Pen a tiré la chasse et ils sont partis. En 1999, tous les « politologues » à la petite semaine le disaient foutu, enterré, et lui le 21 avril 2002 il élimine les socialistes, ceux là même qui faisaient les « macs » depuis tant d’années dans notre pays. Ah il les a fait trembler dans leurs « calfouètes », les cocos, les collabos, les écolos et les rigolos de tous bords, à tel point qu’ils sont allés rameuter des gosses pour les mêler aux habituels crasseux pleins de haine dans la rue. Fascistes va !

Madame Tapedur

 

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